Audition -- James NoTube

Citation :: JAMES NOTUBE
Feat. Orlando Bloom

RESERVED

#ÂGE : 19 ans
#NATIONALITÉ : Américaine
#CARACTÈRE : Reservé - Cultivé - Bosseur - Perspicace - Danseur
#GROUPE OU SOLO ? Compositeur.
#GENRE DE MUSIQUE : Rock et Rock 60s 70s
#DERNIER ALBUM : ///
#LIENS : Fils d'un grand producteur, il est inséré à Hollywood par piston.
#POPULARITÉ : 10/100
#RELATION MÉDIAS : 30/100 (Piston ^^')
#THE MAJESTIES' APPRECIATION : X

Je savais pas trop trop quoi mettre en fait, donc ça peut être révisé, bien sûr ^^'

Bienvenue parmi nous !
Voici le sujet de ton audition :

`Assis seul chez lui, le jeune homme s'ennuyait, il décida donc d'écrire une chanson. Dès qu'il se mit à l'écriture, il se dit que pour l'écrire il devait se concentrer un maximum & de s'inspirer de son passé. Mais c'est alors qu'il essayait de le faire qui se retrouva plongé dans ses souvenirs, 5 ans en arrière...`

Je te rappelle que le rp doit faire un minimum de 2o lignes, bonne chance Wink

{N'oublie pas de changer l'avatar Razz

}

[J'ai mis Mr Bloom, j'espère que ça ira santa

]

16h32. Un jeune homme, face à un PC portable, dernière génération, dans un petit taudis de 9 m². Déroutant ? Dans cette petite pièce, dans les combles d'Hollywood, le jeune James s'exerçait à la fainéantise. Que faire, à Hollywood, un lundi après-midi, alors qu'on était un jeune compositeur futur héritier d'un riche producteur.
On avait, à l'âge de 18 ans, quitté le domicile familiale, obtenant une rente de $3.000 par mois. On avait acheté un petit taudis de 9 m², pour garder un esprit bohémien, vivant au jour le jour. Dans ce petit espace, on avait amenagé un bureau avec l'ordinateur portable qui était rangé dans un tiroir. On avait acheté une antiquité: une machine à écrire des années 50, pour faire 'genre'. Et pourtant, dans ce style qui se voulait pauvre, on pouvait retrouver des vêtements de marques, des tickets de caisse des plus grands restaurants de la ville, ou encore des notes de bar exorbitantes.
Paradoxe intéressant qu'est ce jeune 'fils-de' qui, habitué au luxe, est sortant de sa crise d'adolescence, avait acheté un taudis pour ensuite passer ses soirées dans des fêtes dont l'entrée était aussi coûteuse qu'un mois de salaire d'un jeune ouvrier.
James ferma son ordinateur, éteignit sa chaîne Hi-Fi qui passait des vieux disques de Janis Joplin. Allez, il devait travailler. Ce n'était pas tout de croiser des chanteurs en manque de textes, il fallait écrire. Ce métier, il l'avait choisit car il n'était pas très doué en arts dramatiques, qu'il chantait faux, et que la musique, même s'il l'aimait, ne l'aimait pas assez au point de lui fournir un don en un quelconque instrument.
Mais quel sujet aborder ? il avait déjà travailler sur des chansons d'amours, qu'il avait plus ou moins réussis. Plus moins que plus, d'ailleurs. Quel sujet intéresserait le peuple. Quel sujet les jeunes adolescents aimeraient que leurs stars abordent ? Oui, il avait trouvé; C'était tout simple, et pourtant, il n'y avait pas encore pensé. Quelle avait été l'enfance des stars ? Soit il fallait dire qu'ils étaient comme tout le monde, soit, il fallait dire qu'ils étaient, comme James, fils-de, et que pourtant, la vie leur avait joué d'assez sales tours.
Le brun décida alors de se replonger dans les méandres que furent son passé, la vie qu'il avait mené alors adolescent, tels ceux qui écoutaient les chansons qu'il aurait pû vendre à quelques groupes...
James avait toujours connu le luxe, la beauté, et le pouvoir de l'argent. Alors qu'il n'était âgé que de 14 ans, il avait déjà eu une quantité impressionante de Belle-mères. 23, au total. En effet, en 14 ans, son père s'était marié 23 fois, et avait divorcé 24. D'abord, avec sa vraie mère, bien sûr, celle qui lui avait donné naissance. Une jeune mannequin qui avait tout pour plaire: la beauté. Oui, le culte de la beauté était le culte de son père, c'était bien triste, car bien que son père soit seul, il y avait beaucoup de beautées à travers le monde. Enfin, du haut de ses 55 ans, à cette époque, son père avait connu déjà une bonne partie des beautées de ce monde.
A 14 ans, James vivait encore en France, lieu de perdition de sa mère, qui le recueuillait à chaque Lune de Miel de son père. Presque deux fois par an donc, et pendant 7 semaines. 7 semaines, toujours. La mère de James avait, après son divorce, conquis un autre producteur, qui lui avait donné une deuxième pension alimentaire au bout de 9 mois de mariage. Ainsi, il y avait des coureurs de dot, autrefois, et sa mère était une coureuse de pension alimentaire. En France, c'était à Paris que james vivait. La capitale mondiale de la mode, que sa mère avait choisie parmi tant d'autres pour son romantisme.
A 14 ans, James avait déjà conquis quelqu'un. Précoce ? Pas dans le milieu des riches et des 'nantis'. Dans ce monde où mariage et divorces s'entrechoquaient, James avait bien vite compris les joies de l'amour charnel. C'était l'orpheline que sa mère 'recueillait' qui avait été la témoin, active, de cette découverte de James. Comme recueillement, il y avait pire. L'orpheline, Charlotte, était nourrie, logée, et vêtit d'une garde robe alliant les noms des plus grands artistes vestimentaires. Par contre, elle écopait des corvées que la mère de James ne voulait pas entreprendre à 34 ans, alors que durant toute sa vie, quelqu'un l'avait fait à sa place. Cette petite devait aussi, règlement implicite de la mère de James, assouvir les désirs de James. Et dans ces désirs figuraient l'amour charnel. Un viol ? Non, la jeune Charlotte, âgée de trois ans de plus que James, était tout de même attirée par ce jeune garçon qui avait la beauté de sa mère alliée à la puissance charismatique de son père. Eh oui, les puissants de ce monde se mariaient souvent avec des beautés, et donc, cela engendrait des autres beautés qui se mariaient avec d'autres, etc etc ...
A 14 ans, James n'avait que très peu d'amis. Eh oui, James attirait bien sur les vautours de passage qui voulaient 'jouer avec toi', pour en faite 'jouer avec ta console'. Triste ? Sûrement pas ! Comme tout un chacun dans ce monde, James ne cherchait pas la compagnie de quelques gens. Il était solitaire, bien sûr, et assez sauvage, préférant quelques fois lire des livres alors que ses 'amis' lisaient eux, en boucle les 'Game Over' et autres 'Loading' ... L'amour des livres avait été le premier de James. Ensuite, ce fut la musique, puis le cinéma. Ayant abonnements sur abonnements dans presque tous les cinémas, les libraires, et les disquaires de la ville, James pouvait ainsi lire, voir, et écouter ce qu'il voulait. Oh, ce n'était pas des livres type Harry Potter, mais plutôt des écrits, essais, discours, et autres contes philosophiques. Oui, James était assez incompris de ses 'amis' lorsqu'il lisait sur le banc de la court Sartre et autres Rousseau, mais il n'y avait pas qu'eux. Souvent, lorsque son père voyait des livres d'Engels, Weber, et autres Marcx, il les brpulait vifs. Cela attristait James qui pensait de plus en plus à la fuite.

Lorsqu'il regardait ainsi en arrière, James se dit qu'il avait bien changé, depuis à peine 5 ans. Il était maintenant plongé dans le monde superficiel des fêtes avec hôtes inconnus, après-midi shopping, réveil à 13H ... etc ... C'était triste, de voir qu'on avait ainsi changé... Enfin ... Mieux valait exterioriser cela dans une chanson :

" When I was Fourteen ... "

Magnifique, j'adoooore ! drunken

Audition validée biensûr ! Audition -- James NoTube 824924

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